Les Lettres DUne Libertine Ter Limousin : Un Billet En Nature (1/1)
Je voyais bien que mon Homme passait beaucoup de temps ces derniers jours sur le tchat de son site de rencontres libertines habituel. Et cela magaçait profondément.
Que de temps perdu pour entendre « ça devient nimporte quoi depuis le placardage en 4X3 en plein Paris » ou bien encore « Métro- boulot-libido
mon cul oui que des affamés hormonés ne respectant pas les codes du libertinage », « Et maintenant cest les mecs qui vont nous expliquer ce que nous devrions aimer et à quelle heure nous devrions être disponibles ».
Cette sourde colère finie par se transformer, en fin de semaine, en un grand sourire, celui que je lui connaissais bien lorsquil avait finalisé une surprise de haute volée.
Je ne fus pas surprise lorsquil me remit linvitation en me disant « Un truc qui rentrera dans le top five des choses les plus insensées ! ». Voilà qui me promettait une jolie excitation qui humidifia immédiatement le fond de lingerie.
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INVITATION AUX PLAISIRS (originaux)
Thème : Le conducteur réclamera le prix du voyage en nature, son mécanicien fera une révision en profondeur.
Lieu : LIMOGES
Consignes : le silence est dor, la bouche occupée est dargent et le plaisir sera principalement de bronze.
Dress-code : A toi de choisir ce quil faut pour un grand amateur de lingerie sexy et de femme
Date et heure : vendredi à 22h30 sur place Prévoir 2h45min de trajet.
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Cette invitation était pleine dindices et je me régalais à les interpréter. Cela serait donc 2 hommes se connaissant et donc complices (miam !!), une histoire dengin(s) était donc la clef de loriginalité, me rappelant cette rencontre extraordinaire dans un avion de ligne en stationnement avec 2 PNC.
Je découvrais le message sibyllin du bronze, me signifiant clairement que mon anneau de bronze serait visité avec profondeur, augurant un sexe particulièrement long pour que mon Homme men prévienne.
Je posais auprès de ma cheffe mon après-midi du vendredi pour me préparer et notamment faire lessentiel pour une visite en profondeur avec confort réciproque.
Jétalais aussi ma garde-robe de lingerie pour choisir ce que jimaginais plaire le plus à un grand amateur de lingerie et de femme sexy. Fallait affoler lhormone de ce conducteur exigeant et jallais my employer avec le plus grand plaisir.
Joptais pour robe estivale à tissu léger et volant, des jolies bottes de cuir venant recouvrir un body Lise Charmel fait de dentelles transparentes et ajourées, assorti dun porte jarretelles de même couleur et des bas sans coutures très fin à pois léger venant donner de la fraîcheur au sexy du body.
Le trajet me sembla une éternité même si nous lavons agrémenté du petit jeu préféré de mon Homme, à savoir doubler les routiers à faible allures sur les portions de 4 voies, ma robe étant remontée à fond, jambes et bas écartés, moi me doigtant la chatte, seins sortis des balconnets. Pas moins de 5 appels de phares et 2 coups de longs klaxons sont venus apporter la preuve que cela navait certainement pas déplu. Quant au clignotant de droite proposant un arrêt à la prochaine aire de repos
. Nous lavons décliné. Mon coquin du jour nétait donc pas un conducteur de 38 T.
Arrivé sur Limoges mon Homme mexpliqua que lon ne pourrait pas me bander les yeux avant de monter dans lengin, le lieu étant public, surveillé et quune femme aux yeux bandés ne manquerait pas dattirer tattention. Il mindiqua aussi que je devrais exprimer mes orgasmes dans un silence particulièrement surveillé car une simple vitre nous séparerait du va et vient des personnes fréquentant le lieu.
Et notre voiture se stationna sur le parking de la Gare de Limoges Bénédictins et son magnifique dôme de cuivre vert.
Nous descendîmes les escaliers vers les quais, marchâmes jusquà une partie reculée où se trouvait un TER siglé du symbole du Limousin. Arrivé devant lune des 2 portes de la rame sentrouvrit manuellement sur une demi largeur, une main nous faisant signe dy entrer rapidement.
Mes yeux furent à peine habitués à la pénombre ambiante qui régnait que mon Homme me les banda. Javais eu le temps de reconnaitre la tenue spécifique du personnel roulant de la SNCF et une tenue plus chantier pour le second.
Mes mains furent portées aux leurs. Et elles mattirèrent sur un corps à la fragrance fraiche. Des lèvres cherchèrent les miennes, une langue les força et le baiser offert me fit comprendre un désir non dissimulé, que des mains multiples et très curieuses vinrent confirmer quasi immédiatement.
Autant dire que ma robe de tissus volant léger fut rapidement quun chiffon parti sabattre je ne sais où et quun sifflement dadmiration est venu fendre lair. Mes mains furent dirigées vers une barre en inox et je me présentais en levrette debout, croupe cambrée à mes partenaires.
Puis un ordre claque « Pas un bruit, pas de flash tant que le débarquement nest pas achevé ». Un bruit de crissement de frein retenti, pendant que les mains avaient repris leur ballet sur mon corps et ma lingerie. Le bas du body fut dégrafé, un doigt bien curieux vint lisser ma raie, du sommet jusquà mon clito.
Une pression dair comprimé qui se relâche, des bruits de voix, de roulettes, lintérieur du TER devint à mes oreilles comme le quai lui-même et jeue limpression dêtre dénudée et visible au milieu de tous les voyageurs qui descendaient à Limoges. Puis vint lannonce sonore et en peu de temps le silence repris la scène.
Mes mâles devinrent plus entreprenant et lun dentre eux est venu sasseoir entre mes cuisses et entreprit un cunnilingus démontrant son expérience dans cet art.
Il nen fallu pas plus pour moffrir le premier des orgasmes de la soirée. Ce nétait pas le truc dévastateur mais cela faisait moi lenvie de me laisser aller plus avant. Javais faim de sexe et lannonce dune longue visite anale était une perspective qui ne mavait pas quitté de la journée.
Le confort de la banquette de velours me fut offert et un deuxième cunniliculteur sy essaya de sa langue tandis quun sexe se présentait à mes lèvres. Ce nétait pas celui sur lequel je fantasmais depuis la lecture de linvitation mais il était bien fait et de taille honorable. Il se tendait à chaque coup de langue et je le sentais prendre une dureté qui annonçait de jolies sensations entre mes lèvres vaginales.
Une fois bien excitée, cest moi qui me suis spontanément mise en levrette à genoux sur le velours de la banquette. Croupe tendue je fus investie par celui qui se faisait sucer et qui mentrepris dentrée avec un rythme élevé. Il me bourrait littéralement comme pressé den finir. Une main de plaça devant ma bouche gémissante ma rappelant immédiatement la consigne donnée par mon mari.
« Fais toi sucer, çà lempêchera de faire du bruit » indiqua celui que jidentifiais comme le conducteur et qui prenait la direction des choses depuis le début. Lobjet de mon désir parvint à mes lèvres et une longue et belle membrure se glissa aussi loin que je puisse le faire dans ma bouche, venant se caler, bien au fond, pendant que jagitais ma langue dessous. La membrure repartie en arrière mais ne tarda pas à revenir. Le rythme était aussi long que la chose et le mec commençait à me baiser la bouche comme il baisait un vagin. Cétait bon et cet investissement de bouche venait me chercher cérébralement. Le rythme fini par sauto caler entre mon limeur de chatte et mon baiseur de bouche.
Et javais bien accompagné cette mise en rythme commune en montant dans les tours de ma jouissance.
De nouveau un signal demandant le plus grand silence et un nouveau train déposa sa horde de voyageurs bruyants, passant devant les vitres de notre rame sans probablement deviner ce qui sy tramait. Mon mari me racontera, sur le retour, que les rideaux tirés mais perforés de multiples trous permettait de faire voir aux 3 hommes entièrement nus, les voyageurs passant parfois à moins dun mètre deux sans les voir, y compris une fois par un personnel de la SNCF qui sappuya sur la vitre en attendant la fin dun débarquement pour siffler le départ.
Des mains me prirent et lon me demanda de masseoir sur lun des sièges après quelques marches et je fus surprise de découvrir que le siège était déjà occupé. Mes mains rencontrèrent la longue verge dressée vers le haut et le mec la dirigea directement sur mon rondelle indiquant clairement la voie quil voulait emprunter sans aiguillage préalable.
Il mouvrit avec lenteur, me laissant glisser moi-même le log de cette longue hampe. Elle nen finissait pas de me remplir et enfin lorsque je me posais sur ses cuisses je ressentais une exploration de terres anales encore vierges. Je restais assise dessus histoire de mhabi à la chose qui même si elle nétait pas très large, était dun calibre au-delà de la norme de mon Homme, grand amateur de la même zone.
Il remua son bassin en rond, signe dimpatience, venant travailler lintérieur. Je pris linitiative de me relever lentement et refaire le lent parcours vers lextérieur. Et je replongeais dessus plus rapidement. Joli travail des cuisses et du fessier, le rythme montait et je sentais mes cuisses chauffer de leffort et mon bas ventre apprécier la chose.
Une main vint me caresser la vulve et des doigts inquisiteurs sintroduirent et vinrent caresser la longue verge de lintérieur et mon plafond de salle de jeux en alternance.
Je le sentis venir de très loin cet orgasme. De plein de direction mais toutes convergeaient. Et jéclatais dans un jet puissant et un orgasme intense. « vas-y, vas-y, donne tout ce que tu as, tu peux y aller çà craint rien ». Je nen finissais pas de me tordre de spasmes et je trempais mon partenaire dessous qui poursuivait ses vas et vient à un rythme parfait pour accompagner dans lextinction le feu de ma jouissance.
Je me relevais ruisselante, plutôt vannée et me dégageait de mon partenaire qui devait, lui men vouloir de cette douche de laquelle il ne pouvait se dégager.
Assise sur la banquette, je retirai mon bandeau pour profiter de ce beau cadeau ferroviaire. La longue bite se positionna devant mon visage, son propriétaire était un très bel homme basané et il se masturba de toute sa hampe à la hauteur de ma bouche. Il ne tint pas longtemps et se déversa sur ma langue et en partie sur ma joue gauche. Je laissais toute la semence couler sur mon mention puis mes seins.
Nous partîmes dun fou rire commun tellement yen avait partout, le conducteur appuyant la chose en indiquant quil serait obligé de faire le ménage avant le 1er départ du lendemain matin pour éviter les questions du personnel de contrôle.
Jeu le droit à une visite de lensemble de lengin, tous à poil, donnant lieu à quelque photos souvenirs que chacun pu choisir à sa guise avec mon Homme. Ma chatte fut même nettoyée assise sur le siège du conducteur pour que celui-ci puisse conserver toute lintensité du moment en souvenir à chacun des voyages quil ferait les jours prochains.
Nous avons débarqué sur le quai à minuit. Mais il ny avait ni annonce sonore, ni bruits de voix ou de roulettes pour nous accueillir, ni même un coup de sifflet ou lalarme sonore de la fermeture des portes ! Juste un petit vent frais passant entre mes bas et ma raie très humide davoir été comblée.
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